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Analyse et critique du film "Et dieu créa la femme"

"Et Dieu… créa la femme" est un film dramatique français de 1956, réalisé et écrit par Roger Vadim. Surtout connu, en France comme à l’étranger, pour avoir révélé le potentiel séducteur de Brigitte Bardot, le métrage a ainsi fait de l'actrice une icône instantanée du cinéma français. Retour sur un classique, précurseur de la libération sexuelle des années 60.

Résumé

Jeune orpheline insouciante de 18 ans à peine, au sommet de sa sensualité et de sa séduction, Juliette (Brigitte Bardot) ne fait rien pour détourner le regard des hommes de St Tropez, où elle vit. Épicurienne, la jeune femme n’a en effet d’yeux que pour les hommes, qui redoublent d’efforts pour la conquérir. Le riche Carradine (Curd Jürgens), s’intéresse ainsi à elle, mais ne perd pas de vue le casino qu’il veut construire dans la région, sur les terres de la famille Tardieu. Antoine Tardieu (Christian Marquand), de son côté, n’a rien de sérieux en tête, mais son frère Michel (Jean-Louis Trintignant), lui, est prêt à tout pour conquérir le cœur de Juliette, y compris à jouer le jeu de Carradine.

Réception critique et analyse

À sa sortie, en 1956, le film divise tant critiques que public, et crée même le scandale, pour son ton sulfureux et sexy. Drame assez classique, le film est néanmoins un succès au box-office, et fait rapidement de ses acteurs principaux des superstars du cinéma français, reconnues à l’échelle internationale. Subitement érigée en sex-symbol mythique et scandaleux, Brigitte Bardot se trouve aussitôt au centre de l'attention médiatique, son personnage étant bien souvent présenté comme une égérie féminine, symbole d’une libération sexuelle de la femme. Un personnage dont l’image sensuelle est pourtant, paradoxalement, exploitée par le film : l'une des raisons de son succès, mais un reproche fait au métrage par plusieurs critiques. La passion médiatique est telle que rapidement, le mariage de Roger Vadim et de Brigitte Bardot touche à sa fin, alors que cette dernière se rapproche de Jean-Louis Trintignant. Par ailleurs, "Et Dieu… créa la femme" contribue à la création d'une image internationale de St Tropez dans l’inconscient collectif, une image qui se développe dans les décennies qui suivent. Vadim, lui, réécrit complètement son film dans les années 80, pour en tourner un remake américain mettant en scène Rebecca de Mornay et Frank Langella.

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